«Une farce tragicomique où la danse rejoint le personnage théâtral, un conte philosophique contemporain sur le rapport masculin féminin et sur la relation humaine. Une esthétique inédite, un langage universel, décapant et surréaliste.»
Un duo indiscipliné, poétique, grinçant et drôle. Une histoire simple où l’absurde renvoie au pittoresque de l’étude sociale dans une ambiance sonore électronique. Un univers où le verbe et le geste s’entrechoquent révélant les contours névrotiques de ce couple singulier.
Chorégraphie Jeff Bizieau Mise en scène, textes et vidéos Pascal Renault
Création musicale Jeff Bizeau
Interprètes Jeff Bizieau /Pascal Renault
Création lumière Véronique Hemberger
« … certaines scènes peuvent rappeler COPI. D’autres sont purement poétiques ou surréalistes… Une comédie d’un style nouveau, entre vie sexuelle, politique et quotidienne. Un puzzle absurde qui finit par créer une oeuvre d’art totale où l’on est intrigué, où l’on rit, tremble et aime ». Thomas Hahn CASSANDRE
… la compagnie « Le Sixièmétage » n’opte pas pour le convenu. Par ses choix dérangeants parfois lorsqu’elle frôle la cruauté de la vérité, elle suscite l’intérêt et réveille les consciences d’un monde où l’on s’attache trop souvent à ce qui semble être au détriment de ce qui est véritablement … Fignolé mais sûrement pas aseptisé, déjanté mais non dépourvu de sens. V.Juan / La Strada
Le duo de comédiens/danseurs évoque deux marionnettes désarticulées, exacerbant les expressions, les marques d’étonnement ou de surprise. L’alchimie de la rencontre amoureuse opère grâce à l’alternance judicieuse du texte, de la musique et de danse. Une chorégraphie qui soutient chaque étape évolutive de cet amour naissant.« Boulevard Périphérique » est un objet hors-normes, difficile à réduire à la seule catégorisation ou au genre. Il exprime une identité singulière, utilisant une narrativité éclatée, alors même que l’argument sert juste de prétexte à une chorégraphie calée sur la musique électroacoustique, dont les syncopes et les flux et reflux collent au mouvement des sentiments qu’ils ont charge de représenter. Un spectacle qui place le public face à une situation anodine et qui pourtant fait preuve d’une grande amplitude sensible, son esthétique soignée concourant grandement à son efficacité. Les non-dits sont au moins aussi parlants que l’observation minutieuse des situations tragiques ou comiques exposées. Un objet théâtral et chorégraphique étrange dont l’imprégnation subsistera encore bien après l’avoir quitté. Beatrice Stopin / Le bruit du Off
Création soutenue par La DRAC PACA / REGION PACA / Département des Alpes Maritimes / Ville de Nice